ier soir:
Coup de projecteur du Festival Invisible sur le chanteur Valier oscillant entre les glissements vocaux d’un Bashung et un jeune Gainsbourg du temps des gitanes, celui de Prévert et Kosma. Une pure voix, un vrai univers rock acoustique de mots et de mélodies.
Quant à Jonathan Richman: une étrange familiarité, toute conviviale, il fait tomber la veste, ouvre sa housse de petite guitare espagnole et, nous lançant à chacun un regard tenace tout au long du show, nourrit un humour subtil, multilingue, il nous bourlingue sans cesse en mouvement(s), accompagné par un batteur moderne et droit!
Notre photo avec Damo Suzuki dans le quotidien du festival, merci l’équipe de “Paplar”!
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